Noticias de la Armada Francesa

Como me ta gustando este bicho, me gustaría uno para la ARA con radar SMART-S Mk2 en lugar del MRR3D y con la proa modificada para tener 2 lanzadores RAM Block 2 y 2 CIWS Millenium dispuestos en dos escalones como su hermano menor (BPC140) y otros tantos sistemas a popa. A estos buques se los debe proteger como a la madre.
 
Compañeros anfibios para los BPC Mistral.

La primera nave de desembarco anfibio rápida lista para ser entregada.



La nueva nave de desembarco que equipará a los Buques de Proyección y Comando (BPC) del tipo Mistral va a dejar, este 20 de junio, el astillero de Socarenam, situado en Boulogne sur Mer, para dirigirse a la base naval de Toulon, donde comenzará un período de pruebas antes de ser puesta en servicio en el transcurso del segundo semestre del 2011.
Desarrollado con fondos propios por el grupo CNIM (Construcciones industriales del Mediterráneo) y construido por Socarenam, la nave de desembarco anfibio rápido (EDA-R) fue solicitada en junio del 2009, y en un primer momento, fueron solicitados cuatro ejemplares para las necesidades de la Marina Nacional francesa, que desea reemplazar a sus buques de transporte de materiales (CTM) para sus BPC.
Nacido del concepto L-CAT, el EDA-R es un catamarán equipado con una plataforma elevadora destinado a transportar tropas, material y vehículos embarcados a bordo de los BPC hacia la costa. De 30 metros de longitud y 12 metros de manga, puede llevar una carga máxima de 100 toneladas. Para su protección, está dotado con dos ametralladoras de 12,7mm y de dos afustes para 7,62mm.
Concretamente, durante las fases de embarque y desembarco, los EDA-R se comportan como un buque clásico. Pero durante el tránsito hacia la costa, su plataforma se pone en posición alta, lo que le da el perfil de un catamarán y le permite navegar a una velocidad comprendida entre los 16 y 27 nudos según la carga. Es propulsado por 4 motores MTU de 1.900 CV (2 por compartimiento) y hydrojets MJP650.
A su finalización, y si las recomendaciones del Libro blanco de Defensa francés y la seguridad nacional son respetadas, la Marina Nacional francesa contará con 4 BPC (el 3º, el Dixmude, está en proceso de construcción). También, son 8 los EDA-R que deberían ser construidos.
Y la venta de BPC Mistral a Rusia, que acaba de ser concluida después de complicadas negociaciones, es susceptible de abrir nuevas perspectivas para este buque de desembarco, más aún, ya que no hay muchos buques de este tipo en el mercado. Si bien hay LCAC (Landing Craft Air Cushion), sobre colchón de aire, que equipa a la marina de los Estados Unidos, resulta ser que además de frágiles tienen un mantenimiento costoso.
Siendo así, el segundo EDA-R es esperado por la Marina Nacional francesa para fines del 2011. Los otros dos ejemplares deberían ser entregados en el curso del primer semestre del año siguiente.

Fuente: OPEX 360 18 de junio 2011
Traducción propia.



Le premier Engin de débarquement amphibie rapide prêt à être livré.

Le nouvel engin de débarquement qui équipera les Bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral va quitter, le 20 juin, le chantier naval de Socarenam, situé à Boulogne-sur-Mer, pour rejoindre la base navale de Toulon, où il entamera une période d’essais avant d’être mis en service dans le courant du second semestre 2011.
Développé sur fonds propres par le groupe CNIM (Constructions industrielles de la Méditerranée) et construit par Socarenam, l’engin de débarquement amphibie rapide (EDA-R) a été commandé en juin 2009, et dans un premier temps, à 4 exemplaires pour les besoins de la Marine nationale, qui souhaite remplacer ses chalands de transport de matériels (CTM) pour ses BPC.
Issu du concept L-CAT, l’EDA-R est un catamaran équipé d’une plateforme élévatrice destiné à transporter des troupes, du matériel et des véhicules embarqués à bord d’un BPC vers les côtes. Long de 30 mètres pour 12 mètres de large, il peut porter une charge maximale de 100 tonnes. Pour sa protection, il est doté de deux mitrailleuses de 12,7 mm et de deux affûts de 7,62 mm.
Concrètement, lors des phases d’embarquement et de débarquement, l’EDA-R se comporte comme un chaland classique. Mais lors du transit vers la côte, sa plateforme se met en position haute, ce qui lui donne l’allure d’un catamaran et lui permet de naviguer à une vitesse comprise entre 16 et 27 noeuds selon la charge. Il est propulsé par 4 moteurs MTU de 1.900 CV (2 par coques) et des hydrojets MJP650.
A terme, et si les recommandations du Livre blanc sur la Défense et la sécurité nationale sont respectées, la Marine nationale comptera 4 BPC (le 3ème, le Dixmude, est en cours de construction). Aussi, ce sont 8 EDA-R qui devront être commandés au total.
Et la vente de BPC Mistral à la Russie, qui vient d’être conclue après des négociations compliquées, est susceptible d’ouvrir de nouvelles perspectives pour cet engin de débarquement, d’autant plus qu’il n’y a pas beaucoup d’équipements de ce type sur le marché. Il y a bien le LCAC (Landing Craft Air Cushion), sur coussin d’air, qui équipe l’US Navy mais il s’avère qu’il est à la fois fragile et d’un entretien coûteux.
Cela étant, un deuxième EDA-R est attendu par la Marine nationale d’ici la fin 2011. Les deux autres exemplaires devraient être livrés au cours du premier semestre de l’année suivante.

OPEX 360 18 juin 2011
 
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Un nouveau chef d'Etat-major pour la Marine nationale

C'est bien le vice-amiral d'escadre Bernard Rogel qui va succéder à l'amiral Pierre-François Forissier à la tête de la marine française. La nomination du nouveau CEMM a été approuvée hier en Conseil des ministres. Le VAE Rogel prendra ses nouvelles fonctions le 12 septembre prochain avec élévation aux rang et appellation d'amiral à la même date. Comme son prédécesseur, Bernard Rogel est un sous-marinier, qui totalise 27.000 heures de plongée. Entré à l'Ecole navale en 1976, il embarque sur différents sous-marins d'attaque et SNLE, obtient le brevet d'atomicien à Cherbourg, puis commande successivement mes SNA Casabianca (équipage bleu) et Saphir (équipage rouge) de 1990 à 1992. Après ces deux commandements, il devient officier chargé de l'entraînement et de la tactique au sein de l'escadrille des sous-marins de la Méditerranée, poste dans lequel il s'occupe plus particulièrement de l'entraînement et de la qualification des commandants et équipages de sous-marins nucléaires d'attaque, de la mise au point des matériels et de l'évolution des tactiques sous-marines. Il suit, en 1994, les cours du Collège Interarmées de Défense à Paris. A la sortie du CID, il prend les fonctions de commandant en second de la frégate anti-sous-marine Tourville dans le cadre de la mise au point du nouveau système de lutte anti-sous-marine très basse fréquence (SLASM) puis, en 1996, celles de commandant en second du sous-marin nucléaire lanceur d'engins L'Indomptable. Il sert ensuite, de janvier 1998 à avril 2000, en tant qu'adjoint « MER » du chef de cabinet du chef d'état-major des Armées. D'avril 2000 à décembre 2001, il commande le sous-marin nucléaire lanceur d'engins L'Inflexible (équipage bleu) avec lequel il effectue deux patrouilles opérationnelles. Le 5 janvier 2002, il rejoint l'état-major de l'amiral commandant la Force océanique stratégique et des forces sous-marines où il sert successivement en tant que chef de la division « conduite des opérations », puis comme chef d'état-major.
Auditeur de l'Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale et du Centre des Hautes Etudes Militaires de septembre 2003 à juin 2004, il devient en septembre 2004 adjoint du chef d'état-major particulier du président de la République. Il est, en particulier, en charge des dossiers nucléaire et maritime ainsi que du suivi des opérations militaires extérieures et du renseignement. Chef de cabinet du Chef d'état-major des armées de septembre 2006 à août 2009, il est nommé au premier septembre 2009 sous-chef d'état-major « Opérations » à l'EMA, poste qu'il occupe actuellement.

Nuevo Jefe de Estado Mayor de la Marina, asumira el 12/09, es un submarinista como su predecesor, tiene 27.000 horas como tal.
 
BPC Tonnerre en las costas de Libia.

El BPC Tonnerre, el segundo de la clase Mistral, está operando frente a las costas de Libia, sus operaciones se han incrementado desde que Francia decidió sumar a los helicópteros, entre ellos el Tigre, a las fuerzas de la OTAN.





Fotos: EMA
 
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El 3º BPC rumbo a Toulon.

El BPC Mistral pone proa hacia Libia.

El buque de proyección y comando Mistral zarpó ayer de Toulon, al atardecer, para dirigirse hacia el teatro libio. Normalmente, el BPC releva a su gemelo, el Tonnerre, que había dejado su apostadero el 17 de mayo y a la agrupación aeromóvil (GAM), compuesta de una veintena de helicópteros Tigre, Gazelle y Puma, que intervienen contra las fuerzas del coronel Kadhafi desde el 3 de junio. Según las cifras proporcionadas por el Estado mayor conjunto francés, las aeronaves desplegadas sobre el Tonnerre realizaron, entre el 03 de junio y el 07 de julio, unas 150 salidas, cada una de las misiones implicaban varios helicópteros.
El relevo del Tonnerre por el Mistral va a permitir refrescar no sólo a las tripulaciones sino que también renovar en parte a la GAM.
Siempre en materia de BPC, señalamos que el tercer buque de la clase Mistral, el Dixmude, cruzó el sábado el estrecho de Gibraltar. Construido por el astillero STX France de Saint-Nazaire, el buque debe llegar el miércoles a Toulon, donde la DCNS procederá a la puesta a punto de su sistema de combate, con vistas a la entrega a comienzos del 2012 a la Marina nacional.

Fuente: Mer et Marine 11.07.2011
Traducción propia.



Le BPC Mistral met le cap sur la Libye.

Le bâtiment de projection et de commandement Mistral a appareillé de Toulon hier, en fin de journée, pour rejoindre le théâtre libyen. Normalement, le BPC doit relever son sistership, le Tonnerre, qui avait quitté sa base varoise le 17 mai et dont le groupement aéromobile (GAM), composé d'une vingtaine de d'hélicoptères Tigre, Gazelle et Puma, intervient contre les forces du colonel Kadhafi depuis le 3 juin. Selon les chiffres fournis par l'Etat-major des Armées, les machines déployées sur le Tonnerre ont réalisé, du 3 juin au 7 juillet, quelques 150 sorties, chaque mission impliquant plusieurs hélicoptères.
La relève du Tonnerre par le Mistral va permettre non seulement de rafraîchir les équipages mais, sans doute aussi, de renouveler en partie le GAM.
Toujours en matière de BPC, on notera que le troisième bâtiment de la classe Mistra, le Dixmude, a franchi samedi le détroit de Gibraltar. Construit par les chantiers STX France de Saint-Nazaire, le navire doit arriver mercredi à Toulon, où DCNS procèdera à la mise au point de son système de combat, en vue d'une livraison début 2012 à la Marine nationale.

Mer et Marine 11/07/2011

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El 3º BPC del tipo Mistral "Dixmude" ya está en la base naval de Toulon.

Llegada del BPC Dixmude a Toulon.



El 13 de julio de 2011, el buque de proyección y comando (BPC) Dixmude llegó a la base naval de Toulon, su nuevo puerto de amarre. El vicealmirante Tainguy, prefecto marítimo del Mediterráneo, y el contraalmirante Joly, jefe de estado mayor de la Fuerza de acción naval, se embarcaron en el buque con el fin de acompañar su arribo al puerto militar.
Propiedad de su constructor hasta su completa terminación, la DCNS traspasó, no obstante, el último 23 de junio, la conducción del Dixmude a una tripulación de 120 marinos que manejan el armamento del buque. El mismo día, el capitán de navío Guillaume Goutay se transformó en el primer comandante del buque.
El 05 de julio, el contraalmirante Pastré, presidente de la comisión permanente de programas y ensayos (CPPE), firmó a bordo del BPC, el permiso de navegación militar provisional concedido al buque. En lo sucesivo quedó autorizado para hacerse a la mar bajo la conducción de su tripulación militar, dejando al día siguiente, el astillero STX en Saint-Nazaire, 26 meses después del primer corte de su chapa.
Dos meses después de su primera salida al mar, este tránsito les permitió a los 60 ingenieros y técnicos de STX y DCNS, embarcados para esta circunstancia, efectuar nuevos ensayos y a los marinos embarcados, formarse en su nuevo buque. El programa de armamento, que entra en su fase final, va a continuar a un ritmo sostenido. En septiembre, el buque recibirá a sesenta marinos suplementarios. Esta tripulación completa participará en el curso del último trimestre del 2011, en los trabajos de armamento y sus pruebas, antes de que el Dixmude se reúna al Mistral y al Tonnerre en el seno de la escuadra de los BPC.







Fuente: Marina Nacional francesa 14.07.2011
Traducción propia.




Arrivée du BPC Dixmude à Toulon.

Le 13 juillet 2011, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude est arrivé à la base navale de Toulon, son nouveau port d’attache. Le vice-amiral d’escadre Tainguy, préfet maritime de Méditerranée, et le contre-amiral Joly, chef d’état-major de la Force d’action navale, ont embarqué afin de franchir avec le bâtiment les passes du port militaire.
Propriété de son constructeur jusqu’à son achèvement complet, DCNS a toutefois transféré, le 23 juin dernier, la conduite du Dixmude à un équipage de 120 marins qui poursuit l’armement du bâtiment. Le même jour, le capitaine de vaisseau Guillaume Goutay est devenu le premier commandant du bâtiment.
Le 5 juillet, le contre-amiral Pastré, président de la commission permanente des programmes et des essais (CPPE), a signé à bord du BPC, le permis de navigation militaire provisoire accordé au bâtiment. Désormais autorisé à prendre la mer sous la conduite de son équipage militaire, il a quitté le lendemain le chantier de STX à Saint-Nazaire, 26 mois après la première découpe de sa tôle.
Deux mois après la première sortie à la mer, ce transit a permis aux 60 ingénieurs et techniciens de STX et DCNS, embarqués pour la circonstance, d’effectuer de nouveaux essais et aux marins tout juste embarqués de se former à leur nouveau bâtiment.
Le programme d’armement, qui entre dans sa phase finale, va se poursuivre à un rythme soutenu. En septembre, le bâtiment accueillera une soixantaine de marins supplémentaires. Cet équipage complet participera au cours du dernier trimestre 2011 à des travaux d’armement et des essais, avant que le Dixmude rejoigne le Mistral et le Tonnerre au sein de l’escouade des BPC.


Marine nationale 14/07/2011

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L'ex-patrouilleur français La Rieuse a rejoint le Kenya

Il s'appelle désormais Harembee. L'ex-patrouilleur français La Rieuse, cédé à la marine kényane, a rejoint cet été sa nouvelle patrie. Après une prise en main par son nouvel équipage et quelques travaux à La Réunion, le bâtiment a rejoint le Kenya, où il a débuté son activité opérationnelle. L'ancien P400 français va bénéficier d'une remise à niveau technique, sur laquelle intervient la société française Sofrapie, en charge de la revente des matériels militaires retirés du service actif des armées tricolores et conseillée notamment par RVR International.
Neuvième des 10 unités du type P400, La Rieuse, construite par les CMN de Cherbourg, a été admise au service actif en 1987. Long de 54.8 mètres pour un déplacement de 480 tonnes en charge, ce bâtiment, armé par un équipage de 30 marins et capable d'atteindre la vitesse de 23 noeuds, dispose d'un canon de 40mm, un affût de 20mm et deux mitrailleuses de 7.62mm. En 25 ans de service au sein de la Marine nationale, La Rieuse a mené de nombreuses missions de surveillance et de contrôle autour de La Réunion, des îles Eparses, de Mayotte, de Madagascar ou encore de l'île Maurice, et s'est distinguée dans plusieurs opérations de sauvetage et d'arraisonnement. Le bâtiment a parcouru, sous pavillon français, l'équivalent de 22 tours du monde. Il a été officiellement transféré le 7 juin dernier au Kenya. A La Réunion, il sera remplacé par Le Malin, un ancien palangrier arraisonné en 2005 et venant d'être transformé en patrouilleur.

Aca cuentan que el ex patrullero La Rieuse, se va para Kenia, es un buque del 87' , de 564,80 m de eslora, 30 tripulantes, un cañon de 40 mm, 23 millas de velocidad y que esta siendo acondicionado por la empresa encargada de la venta del material frances dado de baja.
 
Llegó el "Caimán"...

La llegada del NH-90 a la Marina francesa, aquí algunas precisiones sobre este nuevo helicóptero.



- Su nombre de bautismo "Caiman" no concierne solamente a la Marina. El NH-90 llevará también este nombre en la Aviación ligera del ejército francés (ALAT).
- Para la marina, este "Maritime Patrol Helicopter", como se dirá en lo sucesivo, no es entregado más que en una sola versión sobre la cual es posible montar un "kit de combate" para el combate en el mar, por ejemplo, con un sonar, boyas y torpedos.
- Este aparato de combate naval, que le serán entregados 27 ejemplares a la marina, equipará dos flotillas, cada una de ellas estará en condiciones de cumplir todas las misiones. La primera será entonces la 33 F en Lanvéoc (Finistère), donde el primer Caimán llegó el 01 de septiembre pasado. La otra estará basada en Hyères (Var) y podría ver la luz en el 2012. La elección de su nombre todavía no ha sido formalmente decidido, aunque debería ser la 31 F
- El crecimiento de las flotillas está esencialmente ligado a la capacidad de la industrial NHI de entregar los aparatos. Estas entregas están retrasadas. En total, ocho aparatos debían ser entregados en el 2010 y 2011. El primero lo fue en mayo del 2010 y por ahora, la Marina francesa sólo recibió cuatro Caimán. Un quinto aparato debería ser entregado a fines de octubre y tal vez otro antes de fin de año.
- los plazos previstos para la puesta en servicio operacional podrían mantenerse. Dieciocho estuvieron previstos entre la entrega del primer ejemplar a la Marina y el MSO, probablemente alrededor de 20 meses. Pues el MSO se cumple en enero de 2012.
- Al término de 600 horas de vuelo, los marinos juzgan a la máquina como "muy buena". Se trata de un primer standard, que no puede cumplir con todo y algunas "correcciones serán aportadas". "Tiene un excelente potencial para convertirse en una máquina de combate de primer nivel".
- Contrariamente a los Super Frelon, los Caiman no embarcarán prioritariamente sobre las portaaeronaves (portaaviones, TCD o en los BPC). Es un helicóptero prioritariamente destinado a las fragatas de primera línea.
- la formación de las tripulaciones y del personal técnico se realizará en la Ecole du Luc, conjuntamente con el ejército. La "Navalización" (volar y combate en el mar) permanecerá en el seno de la Marina, en Hyères.
- En Lanveoc, el Caimán va a realizar las misiones de salvamento en el mar que eran destinadas al Super Frelon, luego al EC225, la versión ligera del Caracal. La autonomía del Caimán sin depósitos suplementarios es comparable a la del EC225 con depósitos extras. El Caiman puede embarcar a 14 pasajeros sentados.

Fuente: Marianne2 por Jean-Dominique Merchet 09.09.2011
Traducción propia.
El subrayado es mío.

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L'arrivée du NH-90 dans la Marine nationale, voici quelques précisions sur ce nouvel hélicoptère.

- Son nom de baptême "Caïman" ne concerne pas seulement la Marine. Le NH-90 portera aussi ce nom dans l'Aviation légère de l'armée de terre.
- Pour la marine, ce "Maritime Patrol Helicopter", comme on dit désormais, n'est livré que dans une seule version sur laquelle il est possible de monter un "kit de combat" pour la lutte sous la mer, avec, par exemple, un sonar, des bouées et des torpilles.
- Cet appareil de combat naval, qui sera livré à 27 exemplaires à la marine, équipera deux flottilles, chacune étant à même de remplir toutes les missions. La première sera donc la 33 F à Lanvéoc (Finistère), où le premier Caïman est arrivé le 1er septembre. L'autre sera basée à Hyères (Var) et pourrait voir le jour en 2012. Le choix de son nom n'est pas encore formellent décidé, mais ce devrait être la 31 F
- La montée en puissance des flottilles est essentiellement liée à la capacité de l'industirlel NHI de livrer les appareils. Ces livraisons prennent du retard. Au total, huit appareils devaient être livrés en 2010 et 2011. Le premier l'a été en mai 2010 et pour l'heure, la Marine n'a reçu que quatre Caïman. Un cinquième devrait être livré fin octobre et peut-être un autre avant la fin de l'année.
- les délais prévus pour la mise en service opérationnelle devraient être à peu près tenus. Dix-huit étaient prévus entre la livraison du 1er exemplaire à la Marine et la MSO, on sera probablement autour de 20 mois. Donc une MSO en janvier 2012.
- Au terme de 600 heures de vol, les marins jugent la machine "très bonne". Il ne s'agit que d'un premier standard, qui ne peut pas tout faire et "des corrections sont à apporter". "Il a un excellent potentiel pour devenir une machine de combat de premier plan".
- Contrairement aux Super-Frelons, les Caïmans n'embarqueront pas en priorité sur les porte-aéronefs (porte-avions, TCD ou désormais BPC). C'est une hélicoptère prioritairement destinés aux frégates de premier rang.
- la formation des équipages et des personnels techniques se déroulera à l'Ecole du Luc, avec l'armée de terre. La "navalisation" (voler et combattre en mer) sera assurée au sein de la Marine, à Hyères.
- A Lanveoc, le Caïman va assurer les missions de sauvetage en mer qui étaient dévolues aux Super-Frelon puis au EC225, la version légère du Caracal. L'autonomie du Caïman sans réservoirs supplémentaires est comparable à celle de l'EC225 avec réservoir. Le Caïman peut embarquer 14 passagers assis.

Marianne2 par Jean-Dominique Merchet 09.09.2011

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15 hélicoptères sur le pont d'envol du BPC Mistral





Le BPC Mistral au large de la Libye début septembre
crédits : MARINE NATIONALE

19/09/2011

Il n'y en avait jamais eu autant sur le pont ! Une très belle image, diffusée par l'Etat-major des Armées, montre le bâtiment de projection et de commandement Mistral avec pas moins de 15 hélicoptères sur le pont d'envol. La photo a été prise au large de la Libye, où le Mistral a été engagé cet été dans le cadre de l'opération Harmattan/Unified Protector. A ce titre, il embarquait un groupe aéromobile fort d'une vingtaine d'hélicoptères, engagés depuis le mois de juin contre les forces fidèles au colonel Kadhafi. L'image de l'EMA permet de bien apprécier la vaste surface offerte par le pont d'envol, qui s'étale sur 5200 m². Y sont présents deux Caracal, trois Puma/Cougar, deux Tigre et huit Gazelle de l'Aviation Légère de l'Armée de Terre (ALAT) et de l'armée de l'Air. A l'instar d'un porte-avions, on peut remarquer que le pont peut, sans difficulté, servir à parquer de nombreuses machines, sans pour autant interrompre les opérations aériennes, grâce à la présence de six spots d'appontage. On notera que les BPC ont été conçus pour mettre en oeuvre, sur le papier, 16 hélicoptères lourds comme les Tigre et NH90, qui peuvent tous être logés dans un vaste hangar 1800 m² relié au pont d'envol par deux ascenseurs, dont un (à l'arrière), peut accueillir simultanément plusieurs machines. Mais, en réalité, la capacité d'emport en hélicoptères est supérieure à 16 machines, comme le démontre Harmattan, surtout avec de petits appareils comme les Gazelle.

Caracal sur un BPC (© : EMA)


Gazelle et Tigre dans le hangar d'un BPC (© : EMA)

On notera que les opérations en Libye constituent le premier vrai baptême du feu pour les BPC, dont les deux premiers exemplaires, les Mistral et Tonnerre, ont été livrés en 2006 et 2007 par DCNS (le Dixmude entrera en service début 2012). Jusqu'ici, ces bâtiments conçus pour être très polyvalents avaient largement démontré leurs capacités pour les opérations de débarquement, à l'occasion de nombreux exercices, mais aussi dans le cadre de missions humanitaires ou d'évacuation de ressortissants (notamment au Liban en 2006). Cette fois, c'est la capacité à projeter depuis la mer et assurer le soutien d'une force aéromobile puissante qui, aux dires des militaires français, a été brillamment prouvée.


Un CTM embarqué par le Tonnerre (© : EMA)


CTM mis en oeuvre depuis le Tonnerre (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)


EDA-R (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

Longs de 199 mètres pour un déplacement de 21.500 tonnes à pleine charge, les BPC du type Mistral peuvent, en plus de leurs moyens aéronautiques, mettre en oeuvre quatre chalands de transport de matériel (CTM) ou deux catamarans de débarquement du type EDA-R. Leurs garages peuvent abriter au moins 70 véhicules, dont 13 chars lourds comme les Leclerc, alors que les logements son conçus pour héberger, sur une période assez longue, 450 hommes en plus de l'équipage (180 marins). Ces « passagers » peuvent être des soldats, mais aussi des membres d'un état-major embarqué. En effet, les BPC, comme c'est le cas actuellement au large de la Libye, peuvent être gréés en navires amiraux. Dotés de puissants moyens de communications et disposant d'un vaste PC de 800 m² reconfigurable pouvant accueillir 150 opérateurs, ces navires peuvent parfaitement coordonner une opération interarmées et multinationale de grande envergure. Différentes manoeuvres, notamment dans le cadre de l'OTAN, ont permis de qualifier cette capacité très précieuse. Enfin, les BPC peuvent servir d'hôpitaux flottants grâce à un espace médical de 750 m² doté de deux blocs opératoires et 69 lits d'hospitalisation. En cas de besoin, cet hôpital peut être agrandi en récupérant de la place dans le hangar, situé à proximité. Dans le cas d'opérations humanitaires, notamment suite à une catastrophe naturelle ayant endommagé les infrastructures portuaires, cette capacité est très utile, d'autant qu'elle est renforcée, en matière d'acheminement et d'évacuation des blessés, par les moyens aéronautiques et amphibies dont disposent les navires.
Pour mémoire, la France doit se doter, à la fin de la décennie, d'un quatrième bâtiment de ce type. La Russie a également retenu le concept du BPC. Deux unités, adaptées aux besoins russes, seront livrées en 2014 et 2015, deux bâtiments supplémentaires étant prévus.


Les BPC Mistral et Tonnerre (© : MARINE NATIONALE
Abreviando dice que es la primera vez que en un buque de la armada francesa hay 15 helicópteros embarcados en la clase Mistral , luego que Libia a sido el bautismo de fuego para la clase Mistral, que pueden llevar 70 vehículos o 13 tanques pesados también que pueden dar cabida a mas de 450 hombres durante un periodo largo amen de los 180 hombres que son la tripulación normal de estos buques y que Rusia pidió dos Mistral con opción a dos mas en el futuro
--- merged: Sep 23, 2011 3:29 PM ---
La flottille 11F passe sur Rafale




crédits : DASSAULT AVIATION

20/09/2011

Plus de 10 ans après la 12F, l'aéronautique navale voit une seconde flottille de chasse accueillir le Rafale. Hier, sur la base bretonne de Landivisiau, une cérémonie a marqué le passage officiel de la 11F sur le nouvel avion de combat. Dès la semaine prochaine, 7 Rafale F3 seront affectés à cette flottille, qui va progressivement abandonner le Super Etendard Modernisé (SEM). La transformation doit durer environ un an, la qualification opérationnelle de la 11F sur Rafale étant attendue au second semestre 2012. La Marine nationale a préparé très en amont ce changement d'appareils. En effet, en vue de la transformation de la 11F, les effectifs de la 12F ont, ces derniers mois, été « gonflés » en termes d'avions, d'effectifs et de soutien. Cette augmentation de moyens a permis de verser immédiatement à la 11F des personnels qualifiés pouvant transmettre le savoir-faire acquis à leurs collègues. Ainsi, 30% des pilotes et 70% des techniciens de la 11F proviennent de la 12F et sont donc qualifiés sur Rafale.

Durant la cérémonie, hier, à Landivisiau (© : MARINE NATIONALE)

Pour l'heure, l'aéronautique navale aligne 17 Rafale F3 sur la base de Landivisiau, soit 10 pour la 12F et 7 pour la 11F. Alors qu'un nouvel appareil, le M33, doit être livré par Dassault Aviation le mois prochain, trois autres avions sont opérationnels sur d'autres bases. Un est détaché à Saint-Dizier pour les besoins de la formation commune entre la Marine nationale et l'armée de l'Air, un second à Mont-de-Marsan pour des expérimentations, et un troisième, le M1, est toujours positionné à Istres au profit de Dassault. A cela s'ajoutent 9 Rafale au standard F1, mis sous cocon à Landivisiau en attendant leur modernisation. Après avoir été portées au standard F3, ces machines (M2 à M10) doivent redevenir opérationnelles entre 2014 et 2016. Modernisé en dernier, le M1 doit, quant à lui, repasser en flottille en 2017.
D'ici cinq ans, l'aéronautique navale aura vu ses trois flottilles de chasse embarquées passer sur Rafale. La dernière formation, la 17F, commencera à être transformée en 2015 pour une qualification opérationnelle l'année suivante. Comme la 11F, elle abandonnera ses SEM, dont il reste une trentaine d'exemplaires en parc et dont le retrait du service est programmé en 2015.
La marine prévoit de doter chacune de ses trois flottilles de chasse de 15 Rafale, soit un total de 45 avions en ligne pouvant être déployés sur le porte-avions Charles de Gaulle. Pour maintenir cette capacité, tout en assurant les missions de formation et les immobilisations pour maintenance, 60 avions ont été commandés. Le différentiel entre machines en ligne et machines en parc permet également de prendre en compte le taux d'attrition, c'est-à-dire les pertes. Ainsi, 3 Rafale Marine ont été accidentellement perdus en 2009 et 2010.

Acá cuenta que la flotilla 11 recibe los Rafales , después de 10 años que la flotilla 12 ya los recibiera , también que en 5 años las tres flotillas tendrán solamentre RAFALES, ya que la 17 empezara a recibir sus RAFALES en esa epoca y se daran de baja los ultimos 30 SEM quedaran en esa epoca en servicio, la flota de RAFALE sera de 60 pero 45 serán los que siempre estarán en servicio y se calcula que 15 estarán en mantenimiento.
 

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La France a étudié l'acquisition du porte-avions HMS Queen Elizabeth






Le HMS Queen Elizabeth devait mettre en oeuvre des F-35B
crédits : ROYAL NAVY



13/10/2011


Comme nous l'évoquions fin 2010 suite à la décision du gouvernement britannique de ne conserver que l'un des ses deux futurs porte-avions issus du projet CVF (Carrier Vessel Future), la France s'est intéressée à l'éventuelle l'acquisition du HMS Queen Elizabeth. Actuellement en cours d'assemblage au chantier Babcock de Rosyth, en Ecosse, ce bâtiment, qui doit être livré vers 2016, va en effet être vendu. Cette décision découle du choix de Londres d'abandonner la version à décollage court et appontage vertical du Joint Strike Fighter (JSF), le F-35B, au profit de la version catapultée du nouvel avion, le F-35C. Dans cette perspective, le sistership du Queen Elizabeth, le futur Prince of Wales, va être modifié pour disposer de catapultes, de brins d'arrêt d'une piste oblique, le tremplin situé à l'avant étant amené à disparaître. Cette évolution, qui entraine un report de la livraison du navire vers 2020, ne sera pas mise en oeuvre sur le premier bâtiment de la série. Du coup, faute d'avions compatibles (le F-35B ayant été abandonné et le Harrier retiré du service), la Royal Navy se séparera du Queen Elizabeth.


Les deux CVF tels qu'ils devaient être à l'origine (© : ROYAL NAVY)

Techniquement possible grâce à l'ex-coopération franco-britannique

Dans ces conditions, il paraissait pertinent d'étudier la possibilité de récupérer la coque au profit de la Marine nationale. Car si, pour l'heure, le Queen Elizabeth ne compte pas de catapulte ni de brin d'arrêt, impératifs pour la mise en oeuvre des Rafale de l'aéronautique navale, il ne faut pas oublier que les études du CVF ont été menées, entre 2006 et 2008, en coopération avec la France. A l'époque, Paris souhaitait profiter du programme britannique pour réaliser le second porte-avions de la Marine nationale, en ajoutant aux deux CVF un troisième exemplaire, adapté aux impératifs techniques français. Sur la base des Queen Elizabeth Class (QE Class), les ingénieurs français ont donc travaillé avec leurs homologues britanniques sur un nouveau design (dit à l'époque CVF-FR), permettant notamment d'adapter des catapultes et brins d'arrêt. Intéressés, les Britanniques en ont profité pour bénéficier du savoir-faire tricolore dans le domaine des porte-avions conventionnels et modifier les QE Class, afin qu'ils puissent, au cours de leur carrière, être si besoin transformés pour recevoir des avions catapultés. Ces études, qui ont coûté plus de 100 millions d'euros à la France (qui a abandonné le projet en coopération en 2008) auront donc servi à quelque chose puisque, finalement, ce que les Britanniques considéraient comme une option à long terme deviendra la configuration initiale du Prince of Wales.


Le projet CVF-FR (© : DCNS)


Le projet CVF-FR (© : DCNS)


Le projet CVF-FR (© : DCNS)


La dernière vue connue du CVF-FR (© : DCNS)


Le HMS Queen Elizabeth avec tremplin et F-35B (© : BAE SYSTEMS)


Vue du futur HMS Prince of Wales (© : BAE SYSTEMS)

Partant de ce principe, on pouvait donc se demander dans quelle mesure, alors que Paris et Londres ont signé de nouveaux accords de Défense l'an dernier et souhaitent renforcer leurs relations, notamment dans le domaine aéronaval, il serait possible de récupérer le Queen Elizabeth pour compenser les indisponibilités techniques du Charles de Gaulle. Politiquement et industriellement, il eut été possible d'aboutir à un échange « équitable » pour que ce rachat ne lèse pas trop les chantiers français. Ainsi, en contrepartie du rachat du Queen Elizabeth, la Royal Navy aurait pu confier aux industriels tricolores la réalisation de tout ou partie de sa future flotte logistique, qui fera d'ailleurs peut être l'objet d'une nouvelle coopération avec la Marine nationale, cette dernière devant remplacer ses ravitailleurs. Dans le domaine aéronautique également, les difficultés et surcoûts du programme JSF laissaient entrevoir la possibilité de vendre des Rafale Marine à la Grande-Bretagne. Paris lui permettant de se débarrasser d'une coque bien encombrante et difficilement vendable, Londres aurait pu se laisser convaindre de remplacer le F-35C américain par l'appareil français, ce qui aurait au passage renforcé considérablement l'interopérabilité des deux marines.
Mais, avant même d'imaginer ce genre de tractations, il fallait d'abord s'assurer que, techniquement et financièrement, la reprise du bâtiment britannique était jouable.


Les CVF sont réalisés en méga-blocs dans 6 chantiers différents (© : ACA)

Beaucoup trop cher

Discrètement, le ministère de la Défense a donc étudié la question. Et c'est l'amiral Guillaud, lors d'une audition devant la Commission de la Défense de l'Assemblée nationale, le 5 octobre, qui l'a confirmé. « Nous avons étudié la possibilité de recourir au Queen Elizabeth, assemblé en Écosse », a reconnu le Chef d'état-major des Armées. Mais, à la lumière de l'enquête menée, cette solution ne serait pas viable. En effet, pour l'amiral Guillaud, le Queen Elizabeth présente deux défaut : « Il est construit en plusieurs morceaux par différents chantiers navals, ce qui rend son coût de revient supérieur de 30 à 40 % à celui de la fabrication dans un chantier français. En outre, il nécessiterait entre un milliard et un milliard et demi d'euros de modifications, notamment l'adaptation d'une partie de la coque pour installer des catapultes ». En clair, l'acquisition et la mise aux standards français du Queen Elizabeth représenterait un investissement de plus de 4 milliards d'euros. Or, d'après les estimations de l'amiral, « la construction en France d'un porte-avions complet du même modèle coûterait entre 3 et 3,5 milliards d'euros ». Impensable donc pour les finances de l'Etat en période de crise, mais aussi vis-à-vis des industriels français qui, inquiets d'éventuelles coupes dans d'autres programmes pour financer un tel achat, ont sans doute tout fait pour torpiller le projet. Dans une moindre mesure, l'option Queen Elizabeth se « heurtait » aussi à la problématique de la propulsion. Car, si Jacques Chirac avait opté en 2004 pour une propulsion classique, ouvrant la voie à une coopération avec les Britanniques, son successeur a demandé en 2008 une nouvelle étude afin de déterminer les avantages et les inconvénients de la propulsion nucléaire. Cette étude, qui vient d'être achevée, doit permettre au président de la République de faire un choix sur cette option technique.


Le groupe aéronaval français (© : MARINE NATIONALE)

PA2 : « L'équation budgétaire actuelle ne le permet pas »

Pour beaucoup, la réapparition, en 2008, de la question de la pertinence de la propulsion nucléaire pour le prochain porte-avions français n'était d'ailleurs qu'un leurre, destiné à reporter une nouvelle fois le dossier « PA2 », très sensible politiquement. Toujours est-il qu'à l'époque, Nicolas Sarkozy a renvoyé à 2011/2012 la décision de réaliser, ou non, le second porte-avions français. Cette année, la situation économique n'a laissé aucune latitude à ce sujet et en 2012, année d'élection présidentielle, il est fort peu probable que le dossier progresse. D'autant que, malheureusement, le contexte budgétaire n'aura sans doute pas évolué favorablement. « Un deuxième porte-avions serait le bienvenu mais l'équation budgétaire actuelle ne le permet pas », a confié le CEMA aux députés.
Alors que DCNS et STX France ont travaillé sur un nouveau design de porte-avions, dévoilé fin 2010, le projet est donc au point mort. Et, sauf miracle, ce devrait être le cas encore un bon moment, la priorité étant pour les industriels et les militaires de sécuriser les programmes actuels, notamment les frégates FREMM et sous-marins Barracuda pour la marine, dont les livraisons s'échelonnent respectivement jusqu'en 2022 et 2027.
En attendant une éventuelle embellie sur le dossier PA2, l'heure est plutôt, côté porte-avions, à la préparation du deuxième arrêt technique majeur du Charles de Gaulle, qui interviendra en 2016/2017. Très lourd, ce chantier de modernisation et de rechargement des coeurs nucléaires du bâtiment va très vite peser dans le budget. En effet, les approvisionnements à long terme ont nécessité d'inscrire une ligne budgétaire dès 2012, et ce sera le cas jusqu'à la fin du prochain arrêt technique.


Le Charles de Gaulle (© : MARINE NATIONALE)
Aca dice que Francia estudio la compra del segundo poortaviones ingles que se construira , pero la situacion presupuestaria no lo permitiria ya que 4.000.000.000 de euros se les va de las manos,
interesante tema los piratones se quedarian con un solo poorta
 

SkorpioN

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El "Foudre" retorna al África Occidental



Le transport de chalands de débarquement Foudre, qui devrait être prochainement vendu au Chili, a finalement retrouvé, sans doute pour la dernière fois, l'Afrique de l'ouest. Le bâtiment a appareillé de Toulon début octobre pour assurer la mission Corymbe, au sein de laquelle il avait été engagé au printemps dernier. Après une semaine de navigation, la Foudre est arrivée à Dakar. Puis, à l'issue de cette escale, le TCD a appareillé pour mener un exercice avec les forces armées sénégalaises, qui ont notamment engagé l'ex-engin de débarquement d'infanterie et de chars (EDIC) Sabre, cédé cette année par la France au Sénégal.

Resumiendo: El "Foudre", que pronto será vendido a Chile, luego de recibir mantenimiento de rutina en Toulon partió ( en la que sería su última singladura bajo la bandera francesa ) rumbo a Senegal para unas maniobras conjuntas con la Infantería de Marina de aquel país.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117579

Saludos!
 

Shandor

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LA MARINA FRANCESA RECIBE UN NUEVO BUQUE DE PATRULLA MARITIMA






Durante una ceremonia llevada a cabo en Lorient, DCNS ha entregado oficialmente al comandante de la armada francesa Vice-Almirante Xavier Magne, el buque de patrulla costa afuera (OPV) de nueva generacion LAdroit. El capitan de la nueva nave es el comandante Guyot Loïc. El acuerdo sobre este nuevo OPV fue firmado en octubre del 2010 en la Exposicion naval de Euronaval. La marina francesa esta proporcionando la tripulacion del buque, ganando experiencia operacional en el mar en este tipo de nave y desarrollando una capacidad para experimentar una gama de nuevos sistemas (optronicos, comunicaciones, U, etc.). DCNS, que desarrollo el buque con sus propios fondos y conserva su propiedad, beneficiara de la regeneracion de una marina experimentada y podra rotular como "mar probado" esta nave para los mercados de exportacion. LAdroit se pone a disposicion la marina francesa por tres años y sera utilizada como parte de sus misiones marítimos regulares de seguridad (rescate en el mar, lucha contra la inmigracion ilegal, lucha contra la contaminacion, lucha contra de trafico de droga y vigilancia maritima).
espejo aeronautico
 

joseph

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Colaborador
LA MARINA FRANCESA RECIBE UN NUEVO BUQUE DE PATRULLA MARITIMA


Durante una ceremonia llevada a cabo en Lorient, DCNS ha entregado oficialmente al comandante de la armada francesa Vice-Almirante Xavier Magne, el buque de patrulla costa afuera (OPV) de nueva generacion LAdroit. El capitan de la nueva nave es el comandante Guyot Loïc. El acuerdo sobre este nuevo OPV fue firmado en octubre del 2010 en la Exposicion naval de Euronaval. La marina francesa esta proporcionando la tripulacion del buque, ganando experiencia operacional en el mar en este tipo de nave y desarrollando una capacidad para experimentar una gama de nuevos sistemas (optronicos, comunicaciones, U, etc.). DCNS, que desarrollo el buque con sus propios fondos y conserva su propiedad, beneficiara de la regeneracion de una marina experimentada y podra rotular como "mar probado" esta nave para los mercados de exportacion. LAdroit se pone a disposicion la marina francesa por tres años y sera utilizada como parte de sus misiones marítimos regulares de seguridad (rescate en el mar, lucha contra la inmigracion ilegal, lucha contra la contaminacion, lucha contra de trafico de droga y vigilancia maritima).
espejo aeronautico

Esta muy linda la OPV de DCNS pero me late que cuesta un ojo de la cara.
 

SkorpioN

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El "Siroco" reemplaza al "Foudre" en África Occidental



El buque de desembarco "Siroco" zarpó de Toulon el día lunes rumbo al oeste de África. Sustituirá al "Foudre", buque gemelo, el cual sirvió poco más de un mes en la Misión Permanente de la Armada en el Golfo de Guinea.

Los dos buques esperan reunirse la próxima semana. De regreso a Toulon, el "Foudre" volverá una vez más a dique seco en lo que sería definitivamente la última revisión bajo bandera francesa, el buque tiene una leve avería en uno de los ejes de propulsión.

Pero este problema no es la causa del retorno a la base, la vuelta del TCD "Foudre" estaba prevista para esta fecha. Pero como el "Foudre" será transferido a Chile, debe estar completamente listo para su entrega, lo que podría ocurrir en las próximas semanas.



Fuente: http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117752

Saludos!
--- merged: Nov 10, 2011 3:49 PM ---
Se fué de baja la "Tourville", la Fragata antisubmarina será reemplazada por una nueva unidad tipo FREMM.



Fuente: http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117757

Saludos!
 
Sí.

Se nos escapó la tortuga... again -:(-

La ceremonia de traspaso del Foudre a la Armada de Chile se realizará el próximo mes de diciembre. En la negociación de compra se incluyeron 8 Cougars, de los cuales 6 estaránn configurados para asalto y 2 para guerra antisuperficie/antisubmarina.

Sl2
 

DSV

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Es incluso más interesante por los helicópteros que el mismo buque jeje, tremendo escuadrón aeronaval se arman.
 
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