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VICENTE ALMANDOS ALMONACID
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<blockquote data-quote="Brunner" data-source="post: 38868" data-attributes="member: 70"><p>Gracias por subirlo Miguel-</p><p>Fijate en est que proviene de un siito dedicado ala LEgión Extranjera francesa.</p><p><a href="http://www.bivouac-legion.com/celebrites.php" target="_blank">http://www.bivouac-legion.com/celebrites.php</a></p><p></p><p> </p><p><em></em></p><p><em>Vicente Almandos Almonacid (1881-1953) le célèbre précurseur de l' Aéronautique en Argentine est né dans La Rioja. En 1913, après des études techniques et quelques notions de pilotage, il va en France pour construire un avion conçu et baptisé par lui “Aeromóvil”. Il passe son brevet de pilote. Quand la guerre éclate il s'engage dans la Légion Étrangère. Un an plus tard il obtiendra son brevet de pilote militaire. Il est aussi l'inventeur d'un mécanisme de largage de bombes, projet qui sera d'ailleurs adopté par les alliés</em></p><p></p><p>Y En esto</p><p></p><p>Una lista de aces argentinos de la Primera Guerra Mundial</p><p><a href="http://jpgleize.club.fr/aces/ww1arg.htm" target="_blank">http://jpgleize.club.fr/aces/ww1arg.htm</a></p><p><strong>Capt Alexander BECK </strong>11 [8+3] Shores et al. RFC & RAF 60Sq SE5 ace, 1918. 9 (2 OoC); 13(Balladares) </p><p><strong>Capt Thomas COLVILL-JONES</strong> 11 C.Shores et al. (1 balloon) RFC 20Sq, 48Sq (sh. obs) 24/05/1918 Bristol Fighter ace, 1917-18. DOW. 7 (4 OoC) </p><p><strong>Ten Eduardo OLIVEROS </strong>9 C. Balladares Av.Militare 91aSqu 1 </p><p>Lt Bertram Hutchinson SMYTH 8 N.Franks-R.Guest RAF 88Sq (gunner) Bristol Fighter gunner, 1918. 4 (4 OoC) </p><p><strong>Capt Vicente Almandos ALMONACID </strong>3 (probable?) French AS MF 35, MF 29, Sop 29 Bomber pilot and technician. </p><p><strong>Cpl Geronimus WILMART </strong>1 [0+1] Bailey & Cony FFC N 155 01/11/1917 Nieuport, one shared Albatros, 1917, KIA </p><p></p><p>y como si esto fuera poco:</p><p><a href="http://eisenbei.club.fr/Almonaci.htm" target="_blank">http://eisenbei.club.fr/Almonaci.htm</a></p><p></p><p>Précisions sur sa biographie</p><p> </p><p>Héros argentin de l'Aviation, le spécialiste du vol de nuit, ancien de La Légion.</p><p></p><p> </p><p>Né à Facunda Quinroga au pied de la Cordillère des Andes. Il passe son brevet de pilote en France en 1913. Quand la guerre 14-18 éclate, il s'engage dans la Légion Etrangère ce qui lui permet d'aller dans l'aviation. Il termine comme pilote d'une escadrille célèbre de bombardement de nuit. Il rentre dans son pays, Capitaine de l'Armée Française avec Médaille Militaire, Légion d'Honneur et croix de Guerre avec de nombreuses palmes. Il a dans ses bagages deux avions que la France lui a offert dont un avion de chasse. Il traverse, la nuit, en avion la Cordillère des Andes, se pose à Valparaison au Chili. Dix ans plus tard, il est gérant de la Compagnie Aeroposta Argentina, qu'il crée avec Bouilloux-Laffont.</p><p>En 1925, en mission commerciale le Prince Charles Murat s'embarque pour le Brésil avec le commandant Roig, les pilotes Vachet et Hamm, les mécaniciens Gauthier, Estival, Chevalier et 3 Breguet XIV, 3 moteurs et des pièces de rechange. Almandos Almonacid les accueille et les aide dans leur mission. Sur place la mission engage le pilote Lafay, capitaine à la Mission Militaire Française. Les 3 avions sont prêts pour reconnaître les lignes futures, terrain des Affonsos à Rio, Sao Paulo, Porto Alegre, Montevideo... au total 20 terrains sont reconnus. Cette mission est pleine d'embûches. Plusieurs incidents ont lieu. Vachet se pose au départ de Rio sur une plage. L'avion de Hamm s'enlise à Porto Alegre. Au retour de Buenos-Aires le mauvais temps les oblige à se poser dans la nature. Puis le réseau nord est reconnu jusqu'à Recife. La ligne est défrichée. Bouilloux-Laffont suit de très près sa progression et remarque l'ardeur et la foi qui animent ses jeunes membres. Les incidents sont multiples, racket, barrages... l'Allemagne est déjà sur place. Une fois rentrée en France, malgré un rapport favorable d'implantation de la Ligne en Amérique du Sud, Le Ministre de l'Air, M. Bokanowski accepte le principe mais pose des conditions inacceptables pour P.G. Latécoère. Bouilloux-Laffont prendra la relève. </p><p>Le " Condor de la Rioja " ou le chevalier.</p><p>Parmi les amis venus nous attendre à El Palomar s'en trouvait un qui m'était particulièrement cher: il s'agissait de Vicente Almandos Almonacid, argentin plus qu'aisé, dont je dois souligner l'affection personnelle qu'il portait à la France et aux Français. Sa situation de fortune lui avait permis d'obtenir, avant 1914, le brevet de pilote civil dans son pays. Au début de la guerre, il se trouvait en voyage de plaisir en France ; aussitôt la guerre déclarée il contracta un engagement dans la Légion Etrangère (ils furent trois dans ce cas, le français Artigau, l'italien Olivero).... il fut volontaire, au début de 1915, pour être incorporé à la fameuse escadrille du capitaine Happe que ce dernier était en train de constituer. Et c'est ainsi que moi simple soldat et rampant à cette escadrille, c'est Vachet qui parle, j'avais connu l'adjudant Almandos Almonacid, un des huit pilotes de la célèbre escadrille MF 29, celle-là même ou j'appris quelques mois plus tard à piloter. Almandos Almonacid devait s'y distinguer à tel point qu'il parvint à la commander, deux ans plus tard, avec le grade de capitaine... il fut, en particulier, l'initiateur des vols et des bombardements de nuit... Après la guerre, en Argentine il s'était rendu célèbre par une traversée nocturne des Andes sur Spad, restée mémorable... A notre arrivée à El Palomar, Almandos Almonacid s'était enquis, sur un ton vif, auprès d'un adjoint du colonel T..., commandant la base des raisons pour lesquelles ce dernier refusait de laisser abriter nos avions sous un des hangars. Celui-ci lui répondit d'un ton très désagréable, laissant trahissant ses sentiments à l'égard des Français et de la France, l'armée argentine était alors germanophile...</p><p>Le colonel T..., averti de l'intervention bruyante d'Almandos Almonacid demanda des excuses... Il reçut le télégramme suivant: </p><p>"vous porterai réponse demain matin à six heures, avec deux témoins et armes de votre choix".</p><p>Comme le colonel T... était champion national de sabre, il se promit d'infliger une correction à l'aviateur.</p><p>Lorsque à l'heure dite, Almandos Almonacid se présenta avec une voiture arsenal où cliquetaient les lances, les épées et les pistolets; son adversaire, en qualité d'offensé, choisit naturellement l'arme des cavaliers, que le pilote n'avait jamais maniée de sa vie.</p><p>Mais la chance célèbre du Condor de la Rioja marquait ses audaces d'un signe favorable.</p><p>A peine les témoins s'étaient-ils écartés qu'Almandos Almonacid fonça en agitant les bras. Il reçut une éraflure au coude, mais déjà sa lame avait fendu le front de son adversaire au-dessus de l'oeil droit. Un deuxième coup, aussi rapide, ouvrit l'arcade sourcilière gauche. Le sang ruissela, aveuglant l'officier. Le combat fut arrêté. Plus tard, il offrit à Roig son gant taché de pourpre : "Gardez-le. Il porte une marque de sang..., Ce sang, je l'ai répandu pour notre aviation". </p><p>Sources : "La Ligne" de Jean-Gérard FLEURY et "Avant les Jets" de Paul Vachet. </p><p>Le vol de nuit</p><p> </p><p>Contrôler l'avion de nuit, sans repère artificiel, fut une curiosité pour certains pilotes dés le début de l'aviation. Avant la guerre, Granseigne (ou Grandseigne) y était parvenu (le 11 février 1911, Robert Granseigne survole Paris à 3 heures du matin). Seule une légère clarté permettait de le faire... et un certain culot. Un soir, après dîner, Almandos Almonacid fit sortir son avion du hangar, mit le moteur en route et décolla. A mesure qu'il prenait de l'altitude, ses yeux s'habituèrent à la pénombre... Une faible clarté révélait le trait grisâtre des routes, les deux fils argentés des rails de chemin de fer, les méandres laqués des rivières, les lignes sombres des tranchées.</p><p>"J'en étais sûr..., triomphait-il. On voit assez pour se débrouiller! "</p><p>Le commandement militaire local, entendant le vrombissement, questionna le chef d'Almandos Almonacid qui fut obliger de reconnaître que c'était bien un de ses pilotes qui était en l'air, un étranger de surcroît, donc un espion!</p><p>Après son exquise promenade et un atterrissage sans encombre, Almandos Almonacid accourut au mess donner ses impressions. Il fut accueilli par son chef qui lui donna 4 jours d'arrêt de rigueur. </p><p></p><p> </p><p></p><p>Almandos Almonacid et Mermoz</p><p>" Le halo de l'hélice brassant les rais lumineux formait une couronne de Saint de l'Espace à sa tête aux traits vigoureux et doux... "</p><p>Ces lignes tombèrent sous les yeux d'Almandos Almonacid. Almonacid? Qui est Almonacid? me direz-vous.</p><p>C'est un nom sonore de conquistador du ciel.</p><p>Quelques survivants de la guerre se souviennent de cet Argentin calme, élégant et droit, qui vint apporter sa courageuse clarté dans les brumes noires du Nord.</p><p>Engagé dans l'aviation française dés le début de la guerre, il y montra un sang-froid et un courage à toute épreuve. Il pressentit sous le masque placide de son jeune observateur, Heurteaux, frais émoulu de Saint-Cyr, une farouche impétuosité. Il fit se lever une élite de bombardiers de nuit au groupe Happe. Il ne pouvait pas faire mentir son nom dont les racines arabes signifient: le Seigneur de la montagne. Il fut le grand Seigneur des vols nocturnes. </p><p>Je le vois encore sur le terrain de Furgnes, près de la ferme de Boagaerde dans les Flandres, fin 1914, botté et souriant comme devaient l'être sans doute ses aïeux espagnols, qui vers 1610, livraient sur le même terrain la fameuse batailles des dunes aux hordes nordiques. Les hasards du front nous séparèrent. Il se distingua vite et termina la guerre vivant, un des rares survivants du groupe Happe. Capitaine, décoré de la médaille militaire, de la légion d'honneur, abondamment cité, il s'empressa de rejoindre l'Argentine pour se mettre au service de son pays. </p><p>Un jour là-bas, il fit venir Mermoz.</p><p> "Mermoz, me dit-il de sa voix claire, offrait tant de ressemblance avec un de mes meilleurs pilotes de mon escadrille au groupe Happe: Baron, que son intrépidité ne m'étonna point."</p><p>Almandos Almonacid guida Mermoz dans ses premières démarches et ses premiers efforts.</p><p>Soucieux aussi de créer des pilotes argentins, Almandos Almonacid choisit le meilleur parmi ses compatriotes, Ficarelli, et le mit à l'école française de la ligne, avec Mermoz. L'élève devint rapidement digne du maître..</p><p>On lui confia alors le courrier Argentine-Paraguay.</p><p>Au cours d'un trajet par temps couvert, Ficarelli s'écrasa contre une montagne..</p><p>Les jambes brisées, parmi les flammes, il refusa tout secours en criant farouchement au survivant: "SAUVE LE COURRIER! ".</p><p>On enterra le pilote argentin en terre paraguayenne, à l'endroit où il était tombé.</p><p>Or, un jour, Mermoz demanda à voir Almandos Almonacid, chef de ligne à Buenos-Ayres.</p><p>- J'ai un service à vous demander.</p><p>- Accordé d'avance, répond Almandos Almonacid (Comme il aurait répondu au front à Baron, sachant d'instinct que de tels hommes ne demandent jamais rien pour eux).</p><p>Avec son Laté-25, au fuselage étroit, Mermoz prend le cercueil de Ficarelli. Ne pouvant le placer dans le fuselage, il l'introduit debout, l'arrima comme il put, et, décollant péniblement l'avion ainsi déséquilibré, réussit à ramener le cadavre de son ami à Buenos-Ayres, sur sa terre natale.</p><p>Geste d'héroïsme éternel, comparable à celui du camarade survivant qui bondit à travers mille embûches, pour amener le corps de l'ami tombé dans la bataille.</p><p>Imaginez-vous ce long vol dans de telles conditions?</p><p>Mais à quoi bon l'évocation ?</p><p>L'imagination - c'est bien prouvé n'est-ce pas?- est dépassée ici par la sobriété stoïque de l'action de la réalité.</p><p>Etonnez-vous, après de tels actes, que le nom de Mermoz, en Amérique du Sud, symbolise le courage et la générosité d'un aviateur français.</p><p>Pierre Constantini, (l'Aéro du vendredi 12 mars 1937) </p><p></p><p> Vicente Almandos Almonacid (1881-1953) le célèbre précurseur de l'Aéronautique en Argentine est né dans La Rioja. En 1913, après des études techniques et quelques notions de pilotage, il va en France pour construire un avion conçu et baptisé par lui “aeromóvil”. Il passe son brevet de pilote, et quand la guerre éclate il s'engage dans la Légion Étrangère (Corps d'Armée Nº 20 Ysar), comme beaucoup d'étrangers se trouvant en France, l'italien Oilvero, l'américain Kiffin Rockwell de l'escadrille Lafayette... L'année suivante il obtient son brevet de pilote militaire. (voir plus haut, quelques phases de son comportement pendant la guerre)</p><p>A la fin de la guerre, et après plusieurs missions du bombardement (il a inventé un mécanisme pour larguer les bombes installées sous l'avion, mécanisme adopté par les armées alliés) il est affecté à l'Escadron M.S. 26 de Roland Garrós, où il est nommé Capitaine avec les décorations suivantes: la médaille Militaire de France, Cruz de Guerre, Insigne de la Légion d'Honneur, Insigne de la Ligue Aéronautique française et Insigne du Gouvernement de Grande-Bretagne. </p><p>En 1919, il fait partie de la Mission Aéronautique Française (composé de vingt avions, quatre hydravions et quatre planeurs) et pendant leur séjour en Argentine il organise des nombreuses démonstrations. Peu de temps après leur arrivée, le Congrès National Argentin lui accorde le même grade qu'il avait dans l'Armée Française et l'incorpore dans l'Armée Argentine. (Loi Nº 10.989, mais il n'y a pas eu de décret d'application) </p><p>Au début de 1920, le Patron de la Mission française le désigne avec le Lieutenant Fernand Prieur, pour poursuivre la mission au Chili mais il faut traverser la Cordillère des Andes. Avec son biplan Spad 220 il rencontre beaucoup de problèmes mécaniques pour rejoindre Mendoza (Argentine). Ensuite il fait un atterrissage forcé de nuit à deux mille mètres d'altitude et l'avion est détruit. Le patron de la Mission française ordonne alors à Prieur de prêter sa machine plus puissante (un Breguet de 300 HP) à son compagnon argentin qui refuse pour "ne pas priver la France" de la gloire de relier l'Argentine au Chili pour la première fois, et donc le Lieutenant Prieur reprend l'étude de réaliser cet exploit. </p><p>Pendant ce temps, la même année, le Lieutenant Jean Guichard et l'Argentin Jiménez Lest compagnons de guerre, négocient dans le cadre de la Mission Aéronautique Français et avec la Compagnie Franco-Argentina de Transports, l'achat d'un avion pour Almandos Almonacid. Le président de la compagnie, avec notoriété et générosité disant “les avions français ne sont pas à vendre pour Almandos Almonacid, mais plutôt à offrir comme cadeau”, donne un Spad 220 HP qui, par voie ferrée le rejoindra à Mendoza. </p><p>Le 29 mars 1920, le “Condor Riojano” décolle la nuit de Mendoza pour se poser dans un champ de vigne près de la plage de Vergara (Chili), à côté d'un champ de vigne près de la mer, où il fait un atterrissage parfait dans l'obscurité. </p><p>En 1927, il représente la "Compagnie Generates il Aéropostale", et obtient l'autorisation du gouvernement argentin de créer la ligne Amérique du Sud-Europe avec le siège à Buenos Aires où les services gratuits seront assurés par la branche locale de la compagnie Aeroposta Argentine CORP. Dans cette dernière il est nommé directeur technique de 1928 à 1932. </p><p>Au milieu de l'année 1932, quand la guerre éclate entre le Paraguay et la Bolivie, il se rallie à la cause paraguayenne, offre ses services et va dans la région du conflit. Une fois au Paraguay, et comme Colonel Honoraire, il organise l'aviation locale. </p><p>De retour en Argentine, il entre au service consulaire où il sert six ans comme conservateur de la maison. Il préside les journées de fêtes du Général de San Martin José à Boulogne en France, ville qui avait un consulat Argentin. </p><p>Bouilloux-Lafont s'appuie sur le capitaine Vicente Almandos Almonacid pour organiser la branche Argentine, et le 5 septembre 1927, l'Aeroposta Argentine CORP. est créé. Les bureaux de l'Aeropostale s'installeront à Buenos Aires au siège de cette dernière. Le capital autorisé était de cinq millions il y eut un million d'actionnaires. Vers le Paraguay, Santiago du Chili et la Patagonie le Français Paul Vachet avec les Argentins Pedro Ficarelli et Léonard Selvetti mettent en place les premières liaisons. Sont créées à la même période, septembre 1927, conjointement "l'Aeroposta uruguayen" et la "Companhia Brasileira aéronautique", comme compagnies subsidiaires de caractère national en collaboration avec l'Aéropostale qui amènera son savoir-faire.</p><p></p><p>Y esto no requiere traducción..(espero!)</p><p>Saludos</p></blockquote><p></p>
[QUOTE="Brunner, post: 38868, member: 70"] Gracias por subirlo Miguel- Fijate en est que proviene de un siito dedicado ala LEgión Extranjera francesa. [url]http://www.bivouac-legion.com/celebrites.php[/url] [I] Vicente Almandos Almonacid (1881-1953) le célèbre précurseur de l' Aéronautique en Argentine est né dans La Rioja. En 1913, après des études techniques et quelques notions de pilotage, il va en France pour construire un avion conçu et baptisé par lui “Aeromóvil”. Il passe son brevet de pilote. Quand la guerre éclate il s'engage dans la Légion Étrangère. Un an plus tard il obtiendra son brevet de pilote militaire. Il est aussi l'inventeur d'un mécanisme de largage de bombes, projet qui sera d'ailleurs adopté par les alliés[/I] Y En esto Una lista de aces argentinos de la Primera Guerra Mundial [url]http://jpgleize.club.fr/aces/ww1arg.htm[/url] [B]Capt Alexander BECK [/B]11 [8+3] Shores et al. RFC & RAF 60Sq SE5 ace, 1918. 9 (2 OoC); 13(Balladares) [B]Capt Thomas COLVILL-JONES[/B] 11 C.Shores et al. (1 balloon) RFC 20Sq, 48Sq (sh. obs) 24/05/1918 Bristol Fighter ace, 1917-18. DOW. 7 (4 OoC) [B]Ten Eduardo OLIVEROS [/B]9 C. Balladares Av.Militare 91aSqu 1 Lt Bertram Hutchinson SMYTH 8 N.Franks-R.Guest RAF 88Sq (gunner) Bristol Fighter gunner, 1918. 4 (4 OoC) [B]Capt Vicente Almandos ALMONACID [/B]3 (probable?) French AS MF 35, MF 29, Sop 29 Bomber pilot and technician. [B]Cpl Geronimus WILMART [/B]1 [0+1] Bailey & Cony FFC N 155 01/11/1917 Nieuport, one shared Albatros, 1917, KIA y como si esto fuera poco: [url]http://eisenbei.club.fr/Almonaci.htm[/url] Précisions sur sa biographie Héros argentin de l'Aviation, le spécialiste du vol de nuit, ancien de La Légion. Né à Facunda Quinroga au pied de la Cordillère des Andes. Il passe son brevet de pilote en France en 1913. Quand la guerre 14-18 éclate, il s'engage dans la Légion Etrangère ce qui lui permet d'aller dans l'aviation. Il termine comme pilote d'une escadrille célèbre de bombardement de nuit. Il rentre dans son pays, Capitaine de l'Armée Française avec Médaille Militaire, Légion d'Honneur et croix de Guerre avec de nombreuses palmes. Il a dans ses bagages deux avions que la France lui a offert dont un avion de chasse. Il traverse, la nuit, en avion la Cordillère des Andes, se pose à Valparaison au Chili. Dix ans plus tard, il est gérant de la Compagnie Aeroposta Argentina, qu'il crée avec Bouilloux-Laffont. En 1925, en mission commerciale le Prince Charles Murat s'embarque pour le Brésil avec le commandant Roig, les pilotes Vachet et Hamm, les mécaniciens Gauthier, Estival, Chevalier et 3 Breguet XIV, 3 moteurs et des pièces de rechange. Almandos Almonacid les accueille et les aide dans leur mission. Sur place la mission engage le pilote Lafay, capitaine à la Mission Militaire Française. Les 3 avions sont prêts pour reconnaître les lignes futures, terrain des Affonsos à Rio, Sao Paulo, Porto Alegre, Montevideo... au total 20 terrains sont reconnus. Cette mission est pleine d'embûches. Plusieurs incidents ont lieu. Vachet se pose au départ de Rio sur une plage. L'avion de Hamm s'enlise à Porto Alegre. Au retour de Buenos-Aires le mauvais temps les oblige à se poser dans la nature. Puis le réseau nord est reconnu jusqu'à Recife. La ligne est défrichée. Bouilloux-Laffont suit de très près sa progression et remarque l'ardeur et la foi qui animent ses jeunes membres. Les incidents sont multiples, racket, barrages... l'Allemagne est déjà sur place. Une fois rentrée en France, malgré un rapport favorable d'implantation de la Ligne en Amérique du Sud, Le Ministre de l'Air, M. Bokanowski accepte le principe mais pose des conditions inacceptables pour P.G. Latécoère. Bouilloux-Laffont prendra la relève. Le " Condor de la Rioja " ou le chevalier. Parmi les amis venus nous attendre à El Palomar s'en trouvait un qui m'était particulièrement cher: il s'agissait de Vicente Almandos Almonacid, argentin plus qu'aisé, dont je dois souligner l'affection personnelle qu'il portait à la France et aux Français. Sa situation de fortune lui avait permis d'obtenir, avant 1914, le brevet de pilote civil dans son pays. Au début de la guerre, il se trouvait en voyage de plaisir en France ; aussitôt la guerre déclarée il contracta un engagement dans la Légion Etrangère (ils furent trois dans ce cas, le français Artigau, l'italien Olivero).... il fut volontaire, au début de 1915, pour être incorporé à la fameuse escadrille du capitaine Happe que ce dernier était en train de constituer. Et c'est ainsi que moi simple soldat et rampant à cette escadrille, c'est Vachet qui parle, j'avais connu l'adjudant Almandos Almonacid, un des huit pilotes de la célèbre escadrille MF 29, celle-là même ou j'appris quelques mois plus tard à piloter. Almandos Almonacid devait s'y distinguer à tel point qu'il parvint à la commander, deux ans plus tard, avec le grade de capitaine... il fut, en particulier, l'initiateur des vols et des bombardements de nuit... Après la guerre, en Argentine il s'était rendu célèbre par une traversée nocturne des Andes sur Spad, restée mémorable... A notre arrivée à El Palomar, Almandos Almonacid s'était enquis, sur un ton vif, auprès d'un adjoint du colonel T..., commandant la base des raisons pour lesquelles ce dernier refusait de laisser abriter nos avions sous un des hangars. Celui-ci lui répondit d'un ton très désagréable, laissant trahissant ses sentiments à l'égard des Français et de la France, l'armée argentine était alors germanophile... Le colonel T..., averti de l'intervention bruyante d'Almandos Almonacid demanda des excuses... Il reçut le télégramme suivant: "vous porterai réponse demain matin à six heures, avec deux témoins et armes de votre choix". Comme le colonel T... était champion national de sabre, il se promit d'infliger une correction à l'aviateur. Lorsque à l'heure dite, Almandos Almonacid se présenta avec une voiture arsenal où cliquetaient les lances, les épées et les pistolets; son adversaire, en qualité d'offensé, choisit naturellement l'arme des cavaliers, que le pilote n'avait jamais maniée de sa vie. Mais la chance célèbre du Condor de la Rioja marquait ses audaces d'un signe favorable. A peine les témoins s'étaient-ils écartés qu'Almandos Almonacid fonça en agitant les bras. Il reçut une éraflure au coude, mais déjà sa lame avait fendu le front de son adversaire au-dessus de l'oeil droit. Un deuxième coup, aussi rapide, ouvrit l'arcade sourcilière gauche. Le sang ruissela, aveuglant l'officier. Le combat fut arrêté. Plus tard, il offrit à Roig son gant taché de pourpre : "Gardez-le. Il porte une marque de sang..., Ce sang, je l'ai répandu pour notre aviation". Sources : "La Ligne" de Jean-Gérard FLEURY et "Avant les Jets" de Paul Vachet. Le vol de nuit Contrôler l'avion de nuit, sans repère artificiel, fut une curiosité pour certains pilotes dés le début de l'aviation. Avant la guerre, Granseigne (ou Grandseigne) y était parvenu (le 11 février 1911, Robert Granseigne survole Paris à 3 heures du matin). Seule une légère clarté permettait de le faire... et un certain culot. Un soir, après dîner, Almandos Almonacid fit sortir son avion du hangar, mit le moteur en route et décolla. A mesure qu'il prenait de l'altitude, ses yeux s'habituèrent à la pénombre... Une faible clarté révélait le trait grisâtre des routes, les deux fils argentés des rails de chemin de fer, les méandres laqués des rivières, les lignes sombres des tranchées. "J'en étais sûr..., triomphait-il. On voit assez pour se débrouiller! " Le commandement militaire local, entendant le vrombissement, questionna le chef d'Almandos Almonacid qui fut obliger de reconnaître que c'était bien un de ses pilotes qui était en l'air, un étranger de surcroît, donc un espion! Après son exquise promenade et un atterrissage sans encombre, Almandos Almonacid accourut au mess donner ses impressions. Il fut accueilli par son chef qui lui donna 4 jours d'arrêt de rigueur. Almandos Almonacid et Mermoz " Le halo de l'hélice brassant les rais lumineux formait une couronne de Saint de l'Espace à sa tête aux traits vigoureux et doux... " Ces lignes tombèrent sous les yeux d'Almandos Almonacid. Almonacid? Qui est Almonacid? me direz-vous. C'est un nom sonore de conquistador du ciel. Quelques survivants de la guerre se souviennent de cet Argentin calme, élégant et droit, qui vint apporter sa courageuse clarté dans les brumes noires du Nord. Engagé dans l'aviation française dés le début de la guerre, il y montra un sang-froid et un courage à toute épreuve. Il pressentit sous le masque placide de son jeune observateur, Heurteaux, frais émoulu de Saint-Cyr, une farouche impétuosité. Il fit se lever une élite de bombardiers de nuit au groupe Happe. Il ne pouvait pas faire mentir son nom dont les racines arabes signifient: le Seigneur de la montagne. Il fut le grand Seigneur des vols nocturnes. Je le vois encore sur le terrain de Furgnes, près de la ferme de Boagaerde dans les Flandres, fin 1914, botté et souriant comme devaient l'être sans doute ses aïeux espagnols, qui vers 1610, livraient sur le même terrain la fameuse batailles des dunes aux hordes nordiques. Les hasards du front nous séparèrent. Il se distingua vite et termina la guerre vivant, un des rares survivants du groupe Happe. Capitaine, décoré de la médaille militaire, de la légion d'honneur, abondamment cité, il s'empressa de rejoindre l'Argentine pour se mettre au service de son pays. Un jour là-bas, il fit venir Mermoz. "Mermoz, me dit-il de sa voix claire, offrait tant de ressemblance avec un de mes meilleurs pilotes de mon escadrille au groupe Happe: Baron, que son intrépidité ne m'étonna point." Almandos Almonacid guida Mermoz dans ses premières démarches et ses premiers efforts. Soucieux aussi de créer des pilotes argentins, Almandos Almonacid choisit le meilleur parmi ses compatriotes, Ficarelli, et le mit à l'école française de la ligne, avec Mermoz. L'élève devint rapidement digne du maître.. On lui confia alors le courrier Argentine-Paraguay. Au cours d'un trajet par temps couvert, Ficarelli s'écrasa contre une montagne.. Les jambes brisées, parmi les flammes, il refusa tout secours en criant farouchement au survivant: "SAUVE LE COURRIER! ". On enterra le pilote argentin en terre paraguayenne, à l'endroit où il était tombé. Or, un jour, Mermoz demanda à voir Almandos Almonacid, chef de ligne à Buenos-Ayres. - J'ai un service à vous demander. - Accordé d'avance, répond Almandos Almonacid (Comme il aurait répondu au front à Baron, sachant d'instinct que de tels hommes ne demandent jamais rien pour eux). Avec son Laté-25, au fuselage étroit, Mermoz prend le cercueil de Ficarelli. Ne pouvant le placer dans le fuselage, il l'introduit debout, l'arrima comme il put, et, décollant péniblement l'avion ainsi déséquilibré, réussit à ramener le cadavre de son ami à Buenos-Ayres, sur sa terre natale. Geste d'héroïsme éternel, comparable à celui du camarade survivant qui bondit à travers mille embûches, pour amener le corps de l'ami tombé dans la bataille. Imaginez-vous ce long vol dans de telles conditions? Mais à quoi bon l'évocation ? L'imagination - c'est bien prouvé n'est-ce pas?- est dépassée ici par la sobriété stoïque de l'action de la réalité. Etonnez-vous, après de tels actes, que le nom de Mermoz, en Amérique du Sud, symbolise le courage et la générosité d'un aviateur français. Pierre Constantini, (l'Aéro du vendredi 12 mars 1937) Vicente Almandos Almonacid (1881-1953) le célèbre précurseur de l'Aéronautique en Argentine est né dans La Rioja. En 1913, après des études techniques et quelques notions de pilotage, il va en France pour construire un avion conçu et baptisé par lui “aeromóvil”. Il passe son brevet de pilote, et quand la guerre éclate il s'engage dans la Légion Étrangère (Corps d'Armée Nº 20 Ysar), comme beaucoup d'étrangers se trouvant en France, l'italien Oilvero, l'américain Kiffin Rockwell de l'escadrille Lafayette... L'année suivante il obtient son brevet de pilote militaire. (voir plus haut, quelques phases de son comportement pendant la guerre) A la fin de la guerre, et après plusieurs missions du bombardement (il a inventé un mécanisme pour larguer les bombes installées sous l'avion, mécanisme adopté par les armées alliés) il est affecté à l'Escadron M.S. 26 de Roland Garrós, où il est nommé Capitaine avec les décorations suivantes: la médaille Militaire de France, Cruz de Guerre, Insigne de la Légion d'Honneur, Insigne de la Ligue Aéronautique française et Insigne du Gouvernement de Grande-Bretagne. En 1919, il fait partie de la Mission Aéronautique Française (composé de vingt avions, quatre hydravions et quatre planeurs) et pendant leur séjour en Argentine il organise des nombreuses démonstrations. Peu de temps après leur arrivée, le Congrès National Argentin lui accorde le même grade qu'il avait dans l'Armée Française et l'incorpore dans l'Armée Argentine. (Loi Nº 10.989, mais il n'y a pas eu de décret d'application) Au début de 1920, le Patron de la Mission française le désigne avec le Lieutenant Fernand Prieur, pour poursuivre la mission au Chili mais il faut traverser la Cordillère des Andes. Avec son biplan Spad 220 il rencontre beaucoup de problèmes mécaniques pour rejoindre Mendoza (Argentine). Ensuite il fait un atterrissage forcé de nuit à deux mille mètres d'altitude et l'avion est détruit. Le patron de la Mission française ordonne alors à Prieur de prêter sa machine plus puissante (un Breguet de 300 HP) à son compagnon argentin qui refuse pour "ne pas priver la France" de la gloire de relier l'Argentine au Chili pour la première fois, et donc le Lieutenant Prieur reprend l'étude de réaliser cet exploit. Pendant ce temps, la même année, le Lieutenant Jean Guichard et l'Argentin Jiménez Lest compagnons de guerre, négocient dans le cadre de la Mission Aéronautique Français et avec la Compagnie Franco-Argentina de Transports, l'achat d'un avion pour Almandos Almonacid. Le président de la compagnie, avec notoriété et générosité disant “les avions français ne sont pas à vendre pour Almandos Almonacid, mais plutôt à offrir comme cadeau”, donne un Spad 220 HP qui, par voie ferrée le rejoindra à Mendoza. Le 29 mars 1920, le “Condor Riojano” décolle la nuit de Mendoza pour se poser dans un champ de vigne près de la plage de Vergara (Chili), à côté d'un champ de vigne près de la mer, où il fait un atterrissage parfait dans l'obscurité. En 1927, il représente la "Compagnie Generates il Aéropostale", et obtient l'autorisation du gouvernement argentin de créer la ligne Amérique du Sud-Europe avec le siège à Buenos Aires où les services gratuits seront assurés par la branche locale de la compagnie Aeroposta Argentine CORP. Dans cette dernière il est nommé directeur technique de 1928 à 1932. Au milieu de l'année 1932, quand la guerre éclate entre le Paraguay et la Bolivie, il se rallie à la cause paraguayenne, offre ses services et va dans la région du conflit. Une fois au Paraguay, et comme Colonel Honoraire, il organise l'aviation locale. De retour en Argentine, il entre au service consulaire où il sert six ans comme conservateur de la maison. Il préside les journées de fêtes du Général de San Martin José à Boulogne en France, ville qui avait un consulat Argentin. Bouilloux-Lafont s'appuie sur le capitaine Vicente Almandos Almonacid pour organiser la branche Argentine, et le 5 septembre 1927, l'Aeroposta Argentine CORP. est créé. Les bureaux de l'Aeropostale s'installeront à Buenos Aires au siège de cette dernière. Le capital autorisé était de cinq millions il y eut un million d'actionnaires. Vers le Paraguay, Santiago du Chili et la Patagonie le Français Paul Vachet avec les Argentins Pedro Ficarelli et Léonard Selvetti mettent en place les premières liaisons. Sont créées à la même période, septembre 1927, conjointement "l'Aeroposta uruguayen" et la "Companhia Brasileira aéronautique", comme compagnies subsidiaires de caractère national en collaboration avec l'Aéropostale qui amènera son savoir-faire. Y esto no requiere traducción..(espero!) Saludos [/QUOTE]
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Guerra desarrollada entre Argentina y el Reino Unido en 1982
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